Un accord de partenariat a été récemment signé entre l’asbl congolais Aliwu et l’asbl belge Iko, a-t-on appris jeudi de source digne de foi. L’accord prévoit la promotion de la lecture auprès des jeunes congolais à travers la bande dessinée.
La source précise que cet acte prouve la grandeur du cœur de cet artiste. Il compte réaliser à travers ses œuvres des portraits des personnalités congolaises et les fonds récoltés seront versés intégralement à l’asbl Aliwu en vue de réaliser ce projet hautement culturel.
Plusieurs personnalités ont déjà acceptées de recevoir leur portrait qui ont été remis par l’asbl Aliwu et les fonds ont permis de financer les trois premiers stages de bandes dessinées pour les jeunes à Kinshasa qui se sont déroulés à l’école privée les petits Bacheliers sise, avenue Nguma, dans la commune de Ngaliema, durant tout le mois d’Août.
L’artiste Akshanto Yesus est surnommé Akyes avec son stylo à bille réalisant un travail en monochrome se décompose en une multitude de nuances qui laissent les spectateurs « médusés », car il permet instinctivement qu’il y a une invitation à voir des couleurs sans qu’elles apparaissent. C’est un artiste révolutionnaire. Il a révolutionné les portraits avec les imprimantes lasers, les plus sophistiquées sortent comme image, lui, le fait avec plus de talent, c’est du génie.
A regarder sa production, on est dans la pure illusion optique, toutes les nuances naissent dans le recoupement des lignes et des courbes de poire apparaissent comme ses doigts, arrivent –ils à pixéliser et vous fait entrer dans un monde improbable.
Akshanto Yesus, surnommé Akyes a signé un accord de partenariat avec l’asbl congolaise ALIWU et l’asbl belge IKO pour promouvoir la lecture chez les jeunes, via la bande dessinée, ce qui prouve la grandeur de cœur de cet artiste.
Il réalisera des portraits de personnalités et les fonds récoltés seront versés intégralement à l’asbl ALIWU pour financer ce projet.
Comment ses doigts arrivent-ils à pixéliser par le stylo à bille cette encre, reste un mystère. Avec une seule couleur, il vous subjugue la vision, il vous fait rentrer dans un monde improbable, n’est-ce pas une hallucination visuelle qui est sur la feuille devant nous? C’est époustouflant ce qu’il fait apparaître, c’est l’impensable.
Le façonnage des dégradés d’une seule couleur d’encre est tellement subtil, qu’il laisse perplexe, il interroge l’esprit, nos sens et la perception par ceux-ci de ce que nous voyons. Il aime à distiller le doute en nous. Ce que nous percevons, est-ce une photographie, un travail de retouche, de recomposition à partir d’un logiciel ? Non, il s’agit d’une œuvre manuscrite, sortie de la main d’un artiste dessinateur hors norme.
Sa succession de portraits à l’encre nous invite à dépasser, même pour un temps court, notre passion pour la représentation photographique pour aspirer à se mirer au travers de ses portraits. Aujourd’hui, tous les grands, aspirent à être dessinés par lui, on parle de lui, mais il reste un mystère, car il n’accorde pas d’interview, il aime la discrétion pour mieux produire ses œuvres.