Dans un rapport publié ce dimanche 14 juin 2020 par le Centre d’Etude pour la Promotion de la Démocratie, la paix et les droits de l’homme (CEPADHO), un bilan de 668 civils tués a été recensé depuis le 31 octobre 2019, date de lancement des opérations des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).
Maitre Omar Kavota, vice-président du Conseil d’Administration du CEPADHO déclare “lorsque nous procédons par un décompte depuis le lancement des opérations des grandes envergure le 30 octobre de l’année dernière (30/10/2019), nous sommes à ce jour à plus ou moins 668 civils massacrés par ces terroristes en représailles aux attaques des ADF.
Nous voudrions que, comme jamais auparavant, les synergies soient réellement soudées, les efforts soient soudés de manière que, en synergie, qu’on puisse arriver à mettre fin à ces tragédies. L’armée, la population, la MONUSCO devaient plus agir dans une sorte de complicité de manière à anticiper, de manière à éviter que ce soit l’ennemi qui prenne le dessus. Et nous voudrions que l’armée investisse dans le renseignement”.
Il faut préciser que hormis ces 668 civils tués, les FARDC ont aussi perdu des soldats pendant cette période.
Le Hautpanel