L’administration Trump envisage une interdiction totale des voyages aux États-Unis des membres du parti communiste chinois et des membres de leur famille

L’administration Trump envisage une interdiction totale des voyages aux États-Unis des membres du parti communiste chinois et des membres de leur famille, a rapporté mercredi le New York Times.
Selon le Times, cette proclamation présidentielle est encore sous sa forme provisoire et le Président Trump pourrait finalement le rejeter.
A cet effet, ce projet d’interdiction signalé pourrait également autoriser les États-Unis à retirer les visas des membres du parti et de leurs familles qui se trouvent déjà dans le pays, a rapporté le Times.
L’ordonnance citerait le même statut dans la loi sur l’immigration et la nationalité que l’administration Trump a utilisée en 2017 dans le cadre d’une interdiction de voyager dans plusieurs pays à prédominance musulmane, selon le Times. Le statut donne au président le pouvoir de bloquer temporairement les voyages aux États-Unis des ressortissants étrangers qui sont jugés «préjudiciables aux intérêts» du pays.
Par ailleurs, le Times note que ce projet de proposition de rapport poserait des problèmes pratiques, car le Parti communiste chinois compte 92 millions de membres et le gouvernement américain n’a aucune connaissance du statut de parti pour la grande majorité des millions de citoyens chinois qui visitent les États-Unis.
Le Président Trump s’est montré de plus en plus critique à l’égard de la Chine, sur son commerce et sa gestion de la pandémie de coronavirus, découvert à Wuhan.
La Tension monte entre les États-Unis et la Chine sur plusieurs sujets maintenant, Hong Kong, Huawei et etc.
Il sied de noter que John Bolton, ancien conseiller à la sécurité nationale de la Maison, a affirmé dans ses nouveaux mémoires «La pièce où cela s’est passé», que Donald Trump a demandé au président chinois Xi Jinping de l’aide pour sa réélection, rapporté The Hill.
Et, en outre, avoir entendu Trump reconnaître les foules massives lors des manifestations à Hong Kong à l’été 2019, mais a nié qu’il ne voulait pas s’impliquer, et que Trump a également minimisé la nécessité de publier une déclaration à la Maison Blanche le 30e anniversaire du massacre de la place Tiananmen, a affirmé Bolton.
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