Qui l’eut cru que le parti au pouvoir l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social) pouvait démontrer ses limites dans la gestion de la chose publique avant l’échéance du mandat du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ?
Sans nul doute, nous assistons impuissamment à une gestion partisane de l’État en République Démocratique du Congo. La gestion rationnelle et orthodoxe de l’État a laissé place au favoritisme, tribalisme et clientélisme de mauvais goût.
Des nominations sous fond d’intérêts claniques et familiales occupent la scène politique nationale au détriment des hauts cadres du parti Tshisekediste qui ont lutté longuement pour acquérir « l’impérium » ce qui plombe la matérialisation de la vision du Chef de l’État, l’avancement du pays ainsi que son développement. Car ne dit-on pas que ‘’qui veut aller loin ménage sa monture’’, mais pour le Président FATSHI qui aspire à un second mandat à la tête de la République Démocratique du Congo, a-t-il ménagé sa monture ?
L’UDPS est bel et bien en crise de leadership et incapable d’imprimer la marque d’un grand parti au sommet d’un grand d’État. Complots, menaces, trafic d’influence, trahisons, injures, mésententes, monnayages, chantages, détournements, achat de conscience, laxisme, et coup-bas , sont érigés en mode de gouvernance avec le parti actuellement au pouvoir en RDC.
Il sied de signaler que la cacophonie qui règne en maître au sein de l’UDPS est transportée au sommet de l’État, ne sachant pas qui dirige le parti au pouvoir. Il est à comprendre que même le pays se retrouve épris dans ce tourbillon partisan et imbu des pratiques qui frisent l’éthique professionnelle.
Par ailleurs, bon nombre des citoyens dénoncent le comportement et agissement du détenteur de l’imperium en RDC, en attente d’un pays plus beau qu’avant.
Le Hautpanel